Peroxyde et bactéries
Le peroxyde d’hydrogène est le produit de référence conseillé par l’ensemble des acteurs de la filière aquacole et ce depuis une dizaine d’années pour le traitement des maladie de Carpe Koï.
Les parutions professionnelles et notamment le fameux « Guide des bonnes pratiques sanitaires en élevage piscicole » produit par la FFA, la CEE, le Ministère de l’agriculture, le CIPA, l’UNPSA et l’OFIMER sous l’égide des DR LE BRETON et LAUTRAITE (des références mondiales dans le monde de l’élevage) donne une définition de son spectre : particulièrement actif contre les gyrodactiles, les formes libres d’Ichtyophtirius, certains ectoparasites, toutes bactérioses branchiales et cutanées, très efficace dans la prévention contre les mycoses superficielles et des propriétés fongiques indéniables et tellement inoffensif pour l’environnement récepteur (eau + oxygène dissous) qu’il est utilisé sur les oeufs de poissons .
Le peroxyde d’hydrogène
Comme tout produit le peroxyde d’hydrogène est à utiliser en respectant des doses précises.
Osez prétendre à la dangerosité de ce produit est une hérésie et tente de priver les utilisateurs potentiels d’un produit de premier plan sous un prétexte difficile à appréhender. A moins que cela permette de vendre autre chose…
Des milliers de producteurs l’utilisent à travers le monde, des gens dont le métier c’est produire des poissons comme les carpes koï !
Il peut être, de plus, un atout majeur dans la correction d’une hypoxie ; 9 ppm de peroxyde à 35% apportent 1mg d’O2 par litre d’eau.
Le peroxyde n’est pas un produit miracle, d’ailleurs ce dernier n’existe pas, il est juste un (excellent) outil de plus
pour protéger vos animaux, rien de plus, mais surtout rien de moins….